J’aimerais prendre un moment pour apporter quelques éclaircissements sur mes pratiques, souvent incomprises ou mal perçues par une grande partie du public. Mon métier, basé sur des principes énergétiques et spirituels, est encore largement critiqué et discrédité. Pourtant, la science moderne, et notamment la physique quantique, commence aujourd’hui à établir des ponts surprenants avec des pratiques millénaires autrefois considérées comme purement ésotériques.
Quand la physique quantique éclaire les traditions énergétiques des civilisations anciennes
Même au sein de la communauté scientifique, les théories de la physique quantique demeurent controversées et divisent les chercheurs. Cette discipline fascinante, qui suscite de plus en plus d’intérêt, continue de créer de vives polémiques. Pourtant, ces découvertes ont ouvert la voie à des approches innovantes en matière de santé, comme celle de la médecine quantique, qui propose une vision radicalement différente de celle de la médecine traditionnelle.
Alors que la médecine classique considère le corps humain comme une somme d’organes distincts, la médecine quantique adopte une approche holistique, selon laquelle notre organisme est constitué de particules lumineuses appelées « photons ». Ces photons génèrent un champ vibratoire qui relie les différentes parties de notre corps et véhicule des informations essentielles. Dans cette optique, la santé dépend des échanges d’informations entre les cellules, bien plus que des seules interactions biochimiques. Nos pensées, en tant que formes d’énergie vibratoire, participent également à cet équilibre subtil.
Les neuroscientifiques ont démontré que nos pensées et émotions génèrent des molécules spécifiques, de véritables messagers chimiques de nos ressentis. Ainsi, lorsque nous ressentons des émotions, notre chimie corporelle se transforme, influençant l’état de notre santé globale. Selon cette perspective, un symptôme – voire une pathologie – pourrait être le résultat d’un dysfonctionnement ou d’une perturbation dans cette circulation d’informations.
Au début du XXe siècle, des scientifiques tels qu’Albert Einstein ont commencé à explorer le comportement mystérieux des atomes et des particules subatomiques. Là où la physique classique décrivait le monde en termes d’objets solides et mesurables, la physique quantique a bouleversé cette vision en révélant que certaines particules peuvent se comporter à la fois comme des ondes et comme des particules lumineuses, appelées photons.
Dans les années 1970, le biophysicien allemand Fritz-Albert Popp a fait une découverte fascinante en démontrant que les cellules humaines elles-mêmes émettent des « biophotons » — des particules de lumière qui semblent jouer un rôle fondamental dans la communication cellulaire. Ces biophotons créent des champs énergétiques autour des cellules, où circulent des informations vitales pour le bon fonctionnement de l’organisme.
Ainsi, la médecine quantique rejoint de nombreuses traditions de guérison anciennes en affirmant que la santé dépend de l’harmonie énergétique de notre corps. Ces découvertes, loin d’être ésotériques, viennent éclairer des pratiques traditionnelles vieilles de plusieurs millénaires, et nous incitent à repenser notre compréhension de la santé et du bien-être sous un angle nouveau.
Citations sur la médecine quantique
Hippocrate a écrit : « si quelqu’un souhaite une bonne santé, il faut d’abord se demander si elle est prête à supprimer les causes de sa maladie. Seulement après cela, il sera possible de l’aider ».
Saviez-vous que Matthieu Ricard était chercheur en biologie moléculaire ? Aujourd’hui, il n’est plus scientifique mais il met en permanence son engagement spirituel dans les mains des chercheurs car il dit : « Sans cela, on nous reproche d’être de doux rêveurs ».
Platon écrivait il y a plus de 2 000 ans :
« On ne peut guérir la partie sans soigner le tout. On ne doit pas soigner le corps séparé de l’âme, et pour que l’esprit et le corps retrouvent la santé, il faut commencer par soigner l’âme. Car c’est une erreur des médecins d’aujourd’hui : séparer dès l’abord l’âme et le corps ».
J’aime beaucoup cette phrase de Carl Gustav Jung qu’il a retranscrite d’une conversation qu’il avait eue avec un chef amérindien :
« D’après Ochwian Biano, un chef de la nation Pueblo, les Blancs étaient fous parce qu’ils prétendaient penser avec leur tête, et qu’il n’y a que les fous pour penser ainsi. Cette affirmation du chef indien me surprit beaucoup et je lui demandais de me dire avec quoi il pensait. Il me répondit qu’il pensait avec le cœur. »
